Les historiens et « le numérique » : une révolution permanente ?

Invité à parler « numérique : un défi pour l’historiographie ? » avec Franziska Heimburger à l’EHESS en décembre 2014, j’en ai profité pour lancer une petite enquête par questionnaire diffusé en ligne auprès des étudiants, enseignants et chercheurs en histoire concernant l’évolution de leurs pratiques et leurs besoins de formation.

Du 28 novembre au 28 décembre 2014, 353 personnes ont répondu à ce formulaire dont je vous propose une analyse dans ce billet de La boîte à outils des historiens. Pour les plus pressés : oui les transformations sont profondes, non l’historien-ne n’est pas devenu programmeur (et tant mieux…), et pour autant les besoins de formation aux outils informatiques/numériques, même les plus « ordinaires », sont très profonds. Bonne lecture !

Les historien-nes et le numérique. À lire sur la boite à outils des historiens

[édit. du 15 mars 2015] Première suite des résultats de cette enquête, voici un premier billet visant à tenir compte des priorités exprimées par les répondants au questionnaire. Ceux-ci ont en effet majoritairement témoigné d’un véritable besoin de formation aux outils de gestion bibliographique – que seule une petite majorité des répondants déclarait utiliser. Ce billet offre ainsi quelques pistes pour trouver des formations ou des ressources d’autoformation à quelques logiciels :

BilletFormaBiblio

[édit. du 22 mars 2015] Dans le même esprit que le billet précédent sur les logiciels de bibliographie, voici quelques pistes d’auto-formation aux logiciels de bases de données :

BAO-bdd

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Crédit image de une/bandeau : « Hollerith Census Machine pantograph » by  Marcin Wichary – en cc sur Flickr

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